Situation à fin juin 2006

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A l'ASIM Tennis Illzach, situation à fin juin 2006 (publié le 2 septembre 2006, ajouts le 21/09/2006)

 

Sommaire

Généralités

Filets dans la salle pour éviter le retour des balles par les murs de fond de courts

Coupe-vent à l'extérieur sur le court n°4 pour éviter les reflets de la luminosité de la salle

Lumière des courts intérieurs par minuteur

Courts extérieurs en gazon synthétique

Point de vue sur les relations municipalité d'Illzach et l'ASIM Tennis

Autres points divers

Dernière minute

Je rappelle que je suis membre du club à part entière et que je fais partie du conseil d'administration (ce que nous appelons comité). Pour éviter que le club lui-même ne soit directement pénalisé par mes actions et écrits j'ai décidé ici, d'agir en mon nom propre et d'assumer complètement les responsabilités qui sont les miennes. Ceci ne signifie pas pour autant que je ne souhaite obtenir aucun soutien des membres du club, bien au contraire. La seule raison de cette décision est dictée par ma liberté d'action et pour faire en sorte que celle-ci ne puisse nuire indirectement à l'ensemble de nos membres et au club. Je ne souhaite, bien sûr, retirer aucun bénéfice personnel de mes actions, sous quelque forme que ce soit et je me tiens à la disposition de celles et ceux qui voudraient en savoir davantage.
Ces points de vue développés sont bien entendu les miens et peut-être ai-je du mal à me situer dans une société ou il n'existe pratiquement plus de foi ni de loi. En tout cas, à ceux qui me trouvent 'aigri' ou 'rabat-joie', je les informe que je n'ai ni regret, ni état d'âme et que je me sens à ce jour bien dans ma peau. Je n'ai rien non plus d'un justicier comme certains on pu me décrire, mais j'aime me battre pour défendre des valeurs telles que l'honnêteté, la loyauté, la justice, la démocratie et bien d'autres. Juste pour rendre à César...

Il y a malheureusement une grande contradiction entre les intérêts particuliers des uns et la vie associative dans laquelle il faut être collectif. N'existe-t-il pas pour beaucoup d'entre-nous un intérêt, si minime soit-il, de passer sous silence les actes de ceux qui nous favorisent ? Ainsi notre société se dégradera un peu plus encore.
Je crois que nous paierons le prix de ces disfonctionnements de tous ordres, si on continue de les laisser faire, même à une échelle infinitésimale. Mais tout se passe toujours comme si de rien n'était... en silence et souvent de manière sournoise.

Merci à vous toutes et tous de parler de ces quelques pages à toutes celles et ceux qui s'intéressent à notre club, de près ou de loin, en interne ou en externe. Ces expériences doivent profiter à d'autres.

Beaucoup de points ont été votés depuis le début de l'année, peu pour le moment en voie de résolution concrète. Je reviendrais en détail sur les filets dans la salle, les coupe-vent à l'extérieur sur le court n°4 pour éviter les reflets de la luminosité de la salle, la lumière des courts intérieurs par minuteur, les courts extérieurs en gazon synthétique.
La situation est toujours aussi tendue que lors de notre assemblée générale de début 2006. Au sein du comité il existe deux groupes. Certains ont essayé de me déstabiliser lors de cette AG afin de me faire quitter le comité et peut-être le club. Leur stratagème a échoué car j'ai pu avancer des arguments solides et irréfutables grâce à mes nombreuses lectures dans des ouvrages sur les associations et leur mode de fonctionnement (j'y reviendrais plus loin).

Je parlerais aussi de l'aspect 'membre' du club et donc de la possibilité d'être électeur et éligible au comité.

Les choses ayant été beaucoup trop loin à mon goût et après avoir usé de beaucoup de patience, j'ai décidé cette fois de publier non seulement au sein de notre association mais aussi sur Internet. Ce qui se passe à l'ASIM Tennis sera donc bientôt connu par les moteurs de recherche et donc accessible facilement. Notre 'démocratie' si particulière, mérite d'être connue de tous. J'irais probablement aussi informer les instances officielles du Tennis et d'autres clubs, pour leur expliquer à quel point nous sommes hors du coup et de certaines règles les plus élémentaires.

Quelqu'un m'a dit un jour que le fait d'avoir un président et un trésorier mari et femme n'était pas une bonne chose pour une association. Ici, de surcroît le président siège au conseil municipal, c'est un fardeau lourd à porter. Certaines décisions (ou préparations stratégiques) se font à des endroits inappropriés, dommage !
Cet état est aggravé par le fait que le tiers du comité ne pratique plus ou pas le tennis. Nous avons aussi des personnes qui ne cotisent pas et qui  n'ont donc pas le statut de membre dans ce comité (tout au moins pour 2005).

Je vais commencer par le point qui me paraît être le plus important, le statut de membre qui confère à celui qui en a le titre, et après avoir satisfait aux obligations définies dans nos statuts, le droit d'être électeur et éligible au comité. Après les y avoir un peu contraints, certains d'entre nous, au comité, au nombre de quatre au moins (dont un qui a démissionné) ont reconnu ne pas payer de cotisations. Cette situation existerait depuis plusieurs années suite à une décision prise en comité en 1983, du fait qu'ils ne pratiquent pas le tennis. Ce comité de l'époque aurait décidé de leur conférer le titre de membre honoraire. Ce titre est en général attribué à la fin d'un mandat et ne permet pas forcément de rester 'électeur'. Je n'ai pu voir, malgré ma demande, aucun écrit sur une telle délibération. Cet état (celui de non joueur) n'est pas prévu dans nos statuts au niveau des cotisations et notre comité n'a pas le pouvoir de prendre une telle décision.

Pourquoi cette décision ne peut-elle pas être prise en comité ? Simplement parce que nos statuts ont été déposés au Tribunal d'Instance et que ceux-ci ne peuvent être modifiés que par l'ASIM OMNISPORTS dont nous sommes une section. Notre section (le Tennis) ne peut donc pas prendre une telle décision, même lors de notre assemblée générale. Nous sommes par conséquent dans l'illégalité totale à ce niveau et toute décision prise par ces personnes pourrait être frappée de nullité. Même s'il avait été du ressort de notre section (le Tennis), nous ne pourrions prendre une telle décision sans vote à l'A.G.

Alors pourquoi insister sur cet aspect de cotisation sachant que ces personnes s'impliquent beaucoup dans notre club ? D'abord n'importe qui de nos conjoints et amis pourraient ainsi venir dans notre association et y prendre des décisions en participant aux travaux généraux et sans bien comprendre le tennis. 
Ces personnes ont décidé de s'investir dans le club, pour des raisons qui les concernent (et aussi dans certains cas avec des petits avantages, le fait de disposer d'un micro-ordinateur par exemple en est un). Je pense que le service rendu n'est pas forcément celui qui semble visible. Il est cependant difficilement mesurable, il empêche d'autres de s'investir et de prendre des responsabilités en leur présence. D'ailleurs l'investissement personnel d'un bénévole doit-il être mesuré ? Doit-il donner plus ou moins de pouvoir ? Doit-il permettre de diriger en solo ? Certaines prérogatives doivent-elles permettre une exonération des cotisations ? Si oui, lesquelles et selon quelle importance ? Je ne pense pas que la réponse à ces questions soit affirmative et je le rappellerais à celles ou ceux qui se permettent de faire la morale aux autres et qui ne respectent pas les règles initiales et minimales.
Pour moi, ces personnes n'ont rien à faire au club. Elles doivent quitter le comité. D'autres, initiateurs de ces habitudes, feraient bien d'en faire autant.
J'ai entendu certains nouveaux membres se faire rappeler qu'ils ne pouvaient pas voter à l'AG parce que leur présence n'était pas encore de 6 mois comme prévu dans nos statuts. Il s'agit ici de choses plus graves en ne payant pas du tout... 
Alors, si vraiment elles veulent participer aux tâches du club, nul besoin de vote ni de participation aux décisions.

Nous avons, au moins jusqu'à ce jour été freinés pour effectuer une certaine modernisation de nos outils administratifs. Un gain de temps énorme pourrait être réalisé grâce à des outils devenus indispensables aujourd'hui. Je citerais deux axes importants, la gestion comptable et le tournoi annuel. Grâce à cette non-modernisation, certains nous font penser qu'ils sont indispensables. Ils empêchent aussi les décisions d'aller dans le sens collectif et de se tenir à ce qu'eux-mêmes jugent utile. Cet aspect très important a été un facteur bloquant pour beaucoup d'alternatives. Il y a peu de temps nous étions dans un régime monarchique presque absolu (certes avec une majorité de fait..., je viens de parler du droit de vote). Alors l'excuse est de penser et de dire que nous ne participons pas assez et, de conserver jalousement tout pour soi, et essentiellement les postes clés pour décider de tout sans collégialité. Il est encore plus facile de penser que les autres seraient incapables de reprendre en main la destinée du club. 

Pour revenir sur le point des cotisations, j'ai failli lors d'une réunion, pour essayer de revenir à une situation moins conflictuelle, donner mon 'accord' sur le procédé de non-paiement. Pris un peu de court, je me suis bien entendu 'rétracté' à la réunion suivante de fin juin 2006 après plus ample réflexion. Inutile d'insister en disant qu'aucun accord ne peut être possible sur des décisions illégales ou qui ne sont pas en conformité avec nos statuts, évidence !

Je vais maintenant reprendre une à une les grandes décisions prises depuis le début de l'année.

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Filets dans la salle pour éviter le retour des balles par les murs de fond de courts :

Des supports ont été fabriqués par un membre du comité. Celui-ci avait préalablement soumis un plan de fixation et de pose au comité. Le président a demandé que nous contactions l'architecte de la salle pour autorisation et validation technique.

La fixation doit malheureusement être faite sur l'avant de chaque poutre et cette dernière ne doit pas être percée de part en part côté droit à côté gauche. Les supports qui ont été fabriqués doivent donc subir une modification.

Je rappelle simplement que les poutres sont positionnées à distance rapprochée (5 m environ) et j'ose espérer que celles-ci peuvent supporter facilement le poids d'un filet de quelques kilos, pure logique. Mais étant donné que tout risque doit être écarté... Encore faut-il rappeler que le filet central n'est pas dans cette conformité, et à l'époque on ne se souciait pas de ce genre de détail, mais pour quelle raison ?

J'ai tout de même l'impression que l'on cherche à casser les élans un peu trop entreprenants et qui ne vont pas dans le sens de notre président.

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Coupe-vent à l'extérieur sur le court n°4 pour éviter les reflets de la luminosité de la salle :

La fixation de coupe-vent sur le court n° 4 (côté vers la salle) nécessite un support important à cause du vent. Le but est d'éviter l'éblouissement crée par le reflet du soleil dans le bardage de la salle. La force exercée sur les supports peut être assez importante à cause de la pression qui peut être provoquée par le vent. Il n'existe pas de jambe de force sur les poteaux qui soutiennent le grillage de ce côté. Le grillage est lui aussi à réparer. La ville d'Illzach a décidé de prendre à sa charge le renforcement nécessaire ainsi que la réparation des grillages sur tous les courts extérieurs (coût 3950 euros), merci à elle. Une demande officielle a bien été faite auprès de la ville d'Illzach, dans le sens de notre souhait (à comparer à la solution du point suivant). Il restera à l'ASIM Tennis à se fournir des coupe-vent et à les fixer. Le matériel est déjà au club et a été livré par notre fournisseur de balles dans le cadre de notre contrat d'achat (tournoi – équipes).

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Lumière des courts intérieurs par minuteur :

Un devis de 870 euros a été établi le 23/05/2006 par l'électricien ayant effectué l'installation du système de réservation et de l'équipement électrique. Le club prendra en charge ce coût. On peut encore s'étonner que le système existant de connexion au système de réservation ait été mis en place sans aucune concertation lors de la construction (cela a déjà été évoqué dans d'autres sujets commentés sur ce site).

Pour effectuer ces travaux nous devions demander une autorisation à la ville d'Illzach, notre président s'en est chargé par un courrier que je qualifie de 'sournois et déloyal'. Je vous laisse le découvrir ci-dessous. Cette demande traduit clairement et à plusieurs reprises l'opposition du président à ces travaux malgré une majorité qui s'est dégagée du comité pour cette réalisation. Le président (qui faut-il le rappeler est aussi conseiller municipal de la ville d'Illzach) ne respecte pas la décision du comité par 7 voix pour et 5 voix contre. Je rappelle encore que certaines de ces voix 'contre' émanent de 'non-cotisants' pour 2005 au moins. Le respect de la légitimité de notre comité aurait voulu que le président effectue cette demande de manière neutre car, de par sa fonction il représente le comité et la volonté de ce dernier (il aurait donc dû effectuer une simple demande appuyée et motivée au nom du club, et non pas pour ses idées personnelles). Par son action il a provoqué le refus de la municipalité de la Ville d'Illzach dont voici la réponse ci-dessous. Cette manière de procéder ne me semble pas être digne d'un président qui doit respecter les règles démocratiques même si son vote personnel n'a eu aucun poids dans la décision finale du comité. Il se doit en effet de respecter les membres de ce comité et exprimer la volonté générale. Nous nous apercevons une fois de plus que la décision s'est prise hors de notre comité avec l'appui de la fonction de 'conseiller municipal'. Ne serions-nous plus maîtres de notre destin ?

Je voudrais insister aussi sur le caractère engagé de la ville d'Illzach qui a décidé de suivre la voie du président conseiller municipal et non pas celle de la majorité de notre comité. Dommage !!! Les raisons données pour ce refus sont d'ordre totalement idéologique car aussi bien financièrement (c'est nous qui prenions en charge) qu'économiquement (une heure étant par définition plus économique que 1 heure 30), aucune autre raison ne subsiste. Il reste donc le 'copinage' et la raison de force, si souvent utilisée et qui empêche le progrès. Vous serez donc nombreux comme moi, à être déçus. C'est ainsi malheureusement.

J'ai pris personnellement rendez-vous avec M. le Maire d'Illzach, Daniel Eckenspieller, pour essayer d'inverser cette tendance sans succès. Il m'avait pourtant laissé entendre en début d'année sa neutralité vis à vis du club, et son souhait de voir les choses s'arranger au sein de celui-ci, lors de notre entrevue après l'AG houleuse de janvier 2006. Je pense, avec tout le respect que je lui dois que ce n'est malheureusement pas avec de tels actes et décisions que les choses vont s'arranger. La décision prise est politique et pour moi une forme d'ingérence sans fondement dans notre club (car cette décision ne coûtait rien de plus aux investissements de la ville, ni aux frais de fonctionnement). Mais certes, c'est le droit de la municipalité...

M. le premier adjoint avait pourtant signalé, il y a deux ans à la fin de l'AG, que la municipalité d'Illzach nous donnerait le système que nous souhaiterions et même le prendrait en charge, peu importe, les temps ont dû changer. Nous nous apercevons qu'à Illzach, les fonctionnements sont à peu près identiques qu'ailleurs. Que pouvons-nous décider devant un tel mur et avec la menace d'être obligé de prendre en charge nous-mêmes nos consommations électriques et autres (alors que ces questions n'existaient pas avant, qu'en est-il dans les autres sections ?). Pour moi, c'est une forme de chantage !!! La ville d'Illzach motive sa décision par l'investissement qu'elle a effectué et qui, malgré son énorme importance, n'a rien à voir avec le sujet traité.

Il m'a aussi été reproché lors de mon entretien en mairie d'Illzach, de vouloir jouer au tennis en dehors des plages actuelles de disponibilité de la lumière. J'avais simplement demandé lors de la dernière réunion un accès, comme certains membres du comité, afin de pouvoir par exemple éteindre une lumière restée allumée. Cela va pourtant dans le sens économique. Des excuses m'ont été présentées pour cela après mes explications, il n'empêche que le sujet avait été évoqué en haut lieu et de manière peu banale. Le président a, une fois de plus, traduit mes propos selon son arrangement et essayé de me décrédibiliser (en témoignage, la convocation à la dernière réunion et le texte de bas de page, encore une allusion à la ville). Mais vous M. le Président, disposez-vous des clés ? En qualité de membre ? Président ? Conseiller municipal ?

Ceux qui prétendent mettre en œuvre la démocratie dans notre société, devraient se poser de sérieuses questions… en tout cas il faut que ces manières soient connues ici au club, sur la place d'Illzach et ailleurs. Ces actes sont à mes yeux indéfinissables et finissent par démontrer que le pouvoir n'a pas de limite.
Ce point (la lumière) est devenu malheureusement celui de la discorde et le président a tout fait pour que cela ne puisse pas se réaliser, juste par principe, contre moi, et malgré le nombre de membres qui sont demandeurs (souvenez-vous du débat déjà hautement démocratique du président à l'AG qui a refusé de faire un vote sur le sujet). Sans me positionner en victime, je suis devenu celui qu'il faut museler, l'empêcheur de tourner en rond, (d'ailleurs cela m'a été dit, j'en prends bonne note).

Courriers : ASIM Tennis (le courrier de l'illégitimité) :    Ville d'Illzach (la réponse engagée) :

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Courts extérieurs en gazon synthétique :

Des essais ont été effectués en 2005, la décision et les devis étaient là en mars 2006.

Après, et en dehors de la dernière réunion de comité le président a décidé d'effectuer un sondage pendant notre tournoi annuel, sondage qui s'adresse à des joueurs externes au club. Cet acte est hautement symbolique d'une part de par sa décision hors du comité et qui d'autre part s'adresse à des non-membres du club. C'est un peu comme si le voisin décidait de l'aménagement de mon intérieur. Quelle signification peut avoir cette manœuvre, quelles qu'en soient les raisons ? Forme d'expression du pouvoir ?

La décision prise n'a donc toujours pas valeur d'exécution et tout me semble bon pour retarder les travaux qui à mon avis auraient déjà pu commencer début juillet 2006. Inutiles pour l'automne 2006, nous n'avons aucune certitude pour le printemps 2007 (subventions et dossiers, j'ai aussi entendu parler de marché public, mais quels marchés publics au niveau d'une association, nous ne sommes pas une administration que je sache et n'entrons pas dans le cadre des marchés publics). Quels sont les vrais prétextes au non-démarrage des travaux ? On invoque encore l'essai à effectuer sur d'autres surfaces soit disant meilleures. Un jour il faut savoir trancher, en fonction des données qui existent et qui malheureusement peuvent toujours être remises en question à cause des évolutions technologiques imprévisibles.

Au rythme où nous allons, toutes nos décisions seront bientôt régies par un sondage, mais qu'en est-il de la question bien posée ou mal posée sans autre débat interne ? Ridicule !!!

Aux dernières nouvelles, un groupe de joueurs a effectué des essais sur une nouvelle surface à Molsheim. Aucun de ces joueurs n'a testé la 1ère surface. Comment allons-nous pouvoir effectuer un choix ? Encore une manœuvre de notre président qui n'a pas prévenu tout le comité de cet essai imminent. Mais pourquoi en période de vacances ?

Suite au prochain épisode.

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Point de vue sur les relations municipalité d'Illzach et l'ASIM Tennis :

Le lien municipalité et association (je parle d'abord de la nôtre) qui à priori semblait profitable ne me paraît pas être anodin. En effet tous les politiques et notamment au niveau des communes ont intérêt à ce que les associations fonctionnent correctement. Cela attire les habitants vers ces communes, et permet une très large publicité communale sur les distractions, cultures et sports dans la commune et devient donc une argumentation électorale. Tout le monde y trouve son intérêt, les associations pour le bien de leurs membres et les municipalités pour les habitants et électeurs. Ces catégories de personnes sont bien entendu les mêmes en des moments différents. 
Ceci ne devrait pas permettre d'exercer une certaine pression, d'une part par les biais des niveaux de subventions distribuées ou autres mises à dispositions gratuites, et d'autre part par le fait d'avoir à sa portée un dirigeant de club faisant partie de cette municipalité (et qui pourrait forcer des décisions par ce moyen).
Ces deux fonctions me paraissent en effet être en totale contradiction, tout au moins dans le cadre présent
. Le président de notre club, se voyant de plus en plus en état d'incapacité à obtenir une majorité et un consensus, il parle souvent au nom de la ville d'Illzach. Dans la mesure ou une alternative existe pour emporter la décision, la municipalité pourrait encore trancher. 
L'utilisation des locaux (club-house) pour organiser une soirée 'privée' par exemple est soumise au président (ou conseiller ?). Ces évènements se faisaient auparavant, sur demande de certains membres, je ne citerais pas lesquels... (qu'en est-il des horaires d'accès dans ce cas ?) 
Nous sommes aussi dans le cas d'une association Omnisports dont le président est lui-même le premier adjoint de la ville.

Les pressions semblent exister aujourd'hui entre la ville d'Illzach (qui nous a certes aidés énormément) et notre club. Pour revenir sur certains investissements, n'oublions pas tout de même, que l'ancienne salle était devenue dangereuse et que de toutes façon il aurait fallu faire quelque chose... 

Nous devons être indépendants au niveau de nos décisions internes dans la mesure ou rien de nos activités ne s'oppose directement à la municipalité et dans le cas ou nous utilisons de façon rationnelle et correcte les installations mises à notre disposition par la ville d'Illzach. Ceci a toujours été le cas jusqu'à présent, mais nous est refusé partiellement, si le président n'a pas donné son accord, Président ou Conseiller Municipal ? A vous de juger...

J'ajouterais encore que lors de mon dernier entretien avec M. Le Maire, ce dernier m'a avoué que si le président avait fait une demande différente au sujet de la lumière, nous aurions eu son accord... je n'ai plus rien à ajouter sur la méthode de fonctionnement club-municipalité. On peut supposer que la méthode eut été la même sur d'autres sujets épineux. Désolant, malheureusement à l'échelle du temps, je n'ai pas d'autres mots.

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Autres points divers :

Il m'a aussi été reproché d'avoir décidé personnellement il y a 3 ans d'effectuer une pétition, voici ce que je répondrais :
Une pétition est un acte personnel, contrairement à ceux fait au nom d'une collectivité (c'est moi en l'occurrence qui me suis chargé en mon nom personnel ou avec des volontaires de recueillir les signatures). Le sondage a été effectuée d'autorité au nom du comité ou du club (le questionnaire qui a été distribué par l'équipe tournoi pendant son déroulement et sans décision préalable du club). Aucune similitude n'existe donc entre les deux actions 'pétition' et 'sondage'.

Contrairement aux affirmations du président, je ne fais partie d'aucune liste. L'élection au comité de notre club est un mandat individuel, même si la présentation des candidats se fait par le biais d'une énumération de noms pour l'AG (forcément). En fait, il a sans doute voulu me faire comprendre que j'étais indésirable sur la 'liste' du président. Vous ne manquez décidément pas d'audace, M. le Président !!! Mais cela ne m'impressionne pas et nous reviendrons à de meilleures valeurs, que vous le souhaitez ou non.

J'ai réalisé, il y a quelques années un logiciel de gestion de tournoi, qui permettait de gérer les étapes allant des inscriptions jusqu'au déclarations de résultats à la FFT. L'intérêt est évident, à cause des travaux d'écriture, d'erreurs manuelles possibles et de suivi qu'entraîne le tournoi. Cela n'a pas suscité le moindre intérêt au sein du comité de l'époque et au sein duquel se trouvaient peu de joueurs. On a préféré conserver le système actuel, lourd, manuel mais dont certains ont pu se glorifier de l'avoir réalisé tous les ans. Progrès !!!

Notre centrale de réservation et de contrôle des accès est pilotée à distance par un logiciel (pour le paramétrage). Personne au sein de notre comité ne connaît ce logiciel. Ce pilotage s'effectue soit par le fournisseur lui-même, soit par le président depuis son domicile (au moins pour les statistiques et contrôles visuels). Je rappelle que les données nominatives sont personnelles et ne peuvent donc pas être rendues publiques (contrôle des allées et venues de l'individu). Le fait d'utiliser le système (avec ses qualités et ses défauts), pour réserver par exemple, peut-il être appelé 'tricherie' ?
Je constate aussi de temps à autre des modifications 'non décidées' par le comité, pourquoi ?

Le président n'a-t-il pas signalé lors d'une réunion de printemps 2006 que c'est lui qui désignerait son successeur en temps voulu. Cette affirmation qui n'a pas été consignée dans le PV de réunion montre toute l'ampleur du travail à accomplir. Peut-on imaginer que celle-ci ait été faite dans l'ignorance ? Je n'y crois pas une seule seconde. Les temps du président tout-puissant sont révolus.

Les participations de l'ASIM Tennis dans certaines instances dont le Marché aux puces, le Fun Car, et d'autres émanations municipales ne sont pas bien définies et permettent ainsi d'affirmer une haute disponibilité de certains acteurs de notre club. Si ces participations sont indispensables, il faudrait pour autant définir clairement, et par rapport à d'autres sections, notre participation, ses limites et ses apports (à tous les niveaux de participation). Il est évident que les fonds rapportés par ces manifestations sont importants pour notre club, mais pas à n'importe quel prix. Il y a lieu de faire clairement la part des choses entre le club, l'Omnisports et la municipalité. Un savant mélange existe actuellement à ce niveau, celui-ci gêne considérablement notre indépendance.

A noter que la participation au Marché aux puces donnait lieu à certains avantages. La participation de la section hormis pour les étapes d'inscriptions, à cette manifestation, a été occultée totalement en juin 2006 (tout au moins officiellement). Pourquoi ? Aurait-on réservé ces 'avantages' à certaines personnes ? Donnant, donnant en espérant un retour d'ascenseur ?
J'ai toujours été contre le fait qu'une participation 'bénévole' soit 'payante en retour', même si j'y ai  'participé' aussi (et cela pour ne vexer personne et rester intégré au groupe de l'époque).
Malheureusement dans nos systèmes actuels, il n'existe presque plus de participation 'gratuite', car ceux qui donnent leur temps espèrent ou demandent un retour. L'âme du bénévolat n'est pas celle-là et ceux qui font la morale aux autres devraient y réfléchir.

Il est beaucoup question d'éthique dans les ouvrages et articles que j'ai pu lire. Je crois que nous avons perdu la nôtre pour les raisons que je viens de vous décrire.

A celles et à ceux qui pensent tout réaliser par des moyens non conformes à l'éthique associative, à nos statuts et règlements corrigés, et qui ne sont pas en règle, je leur suggère, et là le mot est trop faible, de NOUS QUITTER. Laissez-nous travailler, prendre nos responsabilités et revenir à de vraies valeurs dans une ambiance plus sereine.

 

 

Voici quelques références intéressantes, orientées loi 1901 mais dont le principe général est le même que dans notre droit local, éthique, but (le tennis pour nous), statuts, égalité etc...  (D'autres existent évidemment)

 

http://www.mairie-lille.fr/LillePratique/S04/S04s03/pdf/Manifestedelavieassociative_27.10.2001.pdf

http://www.associations.societegenerale.fr/EIA--Le_Pacte_Associatif-sv-asso-rq-lettre_t-l-3.html

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Dernière minute :

Monsieur le Président, lors de la dernière réunion des équipes du 8 septembre 2006, m'a reproché de dénigrer le club et la Ville (ce n'était ni l'heure, ni le lieu). Je ne dénigre hélas que ce qui ne fonctionne pas et en l'occurrence les méthodes de certains membres de la direction du club. Je ne dévalorise pas le club lui-même. La même remarque s'applique à la municipalité qui aurait dû à mon avis être beaucoup plus sur la réserve. A priori, ce n'est toujours pas clair. Pourtant d'autres membres ont compris mes propos.

Lors de la réunion du comité du 19 septembre 2006, Monsieur le Président voulait organiser un vote afin que les présents portent un jugement sur mon site, c'est du n'importe quoi. Cela aurait changé quoi à la vérité exposée au grand jour ?  Par ailleurs, je suis encore libre d'exposer mes expériences et mes idées !!!

 

J'ai reçu fin août 5 billets gratuits mis à la disposition du club pour des entrées le 21 octobre 2006. Ce principe existerait depuis 10 à 12 ans pour le 'Swiss Indoors' de Bâle (avec moins de billets les autres années, parait-il). Ces billets faisaient partie des affiches et dépliants exposés au club house pour la promotion du tournoi. Qui en a bénéficié, et pourquoi ne jamais en avoir parlé en comité ? Au nom de la transparence... 

Jean-Marie      

 

 

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