Un article signé par M. Le Maire et daté du 14 juin 1999 (Trait d'union 2000 n° 29) précise les règles à observer en matière de bruit. Alors de deux choses l'une, soit cet arrêté a été abrogé ou la commune s'octroie des droits que les autres n'ont pas.

Le comble est arrivé quand la rue des romains qui vient d'être rapiécée (il y a peut-être d'autres rues) a été balayée à plusieurs reprises et plus tôt encore, le 20/09/2004 vers 5 heures pour le début (impossible de dormir, la prochaine fois c'est promis on viendra aussi vous réveiller M. Le Maire). Alors de grâce ne nous dites pas que l'on ne pouvait pas faire cela à une autre heure de la journée et que c'est un cas de force majeure.

Affaire à revoir... il y a les chefs qui décident (ceux de l'entretien des voies, à moins que les instructions viennent de plus haut) et les autres (habitants) qui subissent, faut-il appeler M. Le Préfet ? C'est ce qui est sous entendu dans le chapitre 19 (Application) de l'arrêté en question. On va être plus cool, Messieurs, plus de machines avant 8 heures, même si la balayeuse est 'louée' à la CCIN pour un temps limité, il faut revoir le planning d'utilisation. Merci.

Quand on y pense cela fait beaucoup pour une seule petite Ville. Oui les endroits où l'on a pas réussi à obtenir gain de cause de l'Etat (ou voulu faire toutes les démarches) en matière de bruit sont nombreux :

- les avions qui nous survolent et qui pourraient passer au-dessus de la Hardt (même le roi Fahd d'Arabie Saoudite effectue des vols d'entrainements à basse altitude au-dessus de nos têtes, selon un courrier de l'EuroAirport, tracé à l'appui)

- l'autoroute avec son horrible talus disgracieux et sans effet (voir dans les autre pages)

- les trains (certes cela fait longtemps, mais rien n'a été entrepris pour insonoriser un maximum).